Grâce au bouton MOOD permetant de contrôler ce principe de clipping, et selon un écrêtage symétrique, asymétrique, offrant plus ou moins de headroom, délivrant un boost parfaitement clean ou des Fuzz hallucinants, tout en ajustant les habituels contrôles de gain et de volume, la Kernom MOHO fait tout et le fait admirablement bien.  Kernom a la solution quasi ultime, si ce n’est qu’un puriste voudra probablement toujours avoir aux pieds 23 pédales, mais la Kernom MOHO délivre tous les timbres et les types de Fuzz.

Le potare unique et bien spécifique à cette MOHO est le Electricity, un potare qui selon sa course, va permettre 3 modes, Octave Up, Octave Down et Ring Modulator. Et comme la course est variable et graduelle, vous avez pléthore de timbres et possibilités…

La partie EQ est simplissime, un bouton MID, c’est tout. Effectivement, avec ce simple potare de médium, vous couvrez tous les besoins de ce que l’étage d’overdrive (ou clean Boost ou Fuzz ou… ok, vous avez compris) amène à l’ampli sur lequel vous allez brancher la MOHO. Ne nous leurrons pas, vous avez un étage d’EQ sur votre ampli… Par contre, la Kernom MOHO possède aussi 2 potards uniques, un de PRE TONE qui ajuste la sensibilité de la dynamique de la guitare avant d’atteindre l’étage d’écrêtage du signal (le MOOD donc), et l’autre potare de POST TONE qui détermine le timbre du signal sortant du MOOD, typiquement plus défini ou plus ample, gras. La MOHO, bien que requérant une alimentation externe standard en 9 volts, peut délivrer une tension interne pouvant atteindre 30 Volts pour pousser votre ampli dans ses retranchements.

La Kernom MOHO possède son switch ON/OFF et un switch PRESET, passant ainsi de l’un à l’autre du Preset accessible aux réglages manuels directement sur la pédale. Mais comme la MOHO est entièrement compatible MIDI, on peut ainsi rappeler jusqu’à 128 presets via un contrôleur externe, aussi bien pour la guitare, la basse que les synthés ou même la voix, le signal pouvant être de niveau ligne ou instrument selon les besoins. La pédale est prête pour affronter la scène avec son châssis en aluminium robuste et la possibilité d’ajouter une pédale d’expression qui pourra modifier instantanément les niveaux de drive et/ou les médiums.

Vous l’avez compris, la MOHO est le Fuzz ultime et fait tout, et formidablement bien en plus. Une des pédales les plus attendues depuis un moment, nulle doute que la Kernom MOHO va elle aussi se faire un nom !!!

C’est pourquoi DS Custom a séparé le potentiomètre de gain en deux. Sur l’unité d’origine, le potentiomètre de gain est un double potentiomètre qui contrôle le gain d’une part, et le mélange du signal clair et saturé d’autre part. Vous pouvez donc régler les deux individuellement et obtenir de jolis sons intermédiaires. Le bouton Blend ajoute plus de signal saturé à l’ampli-op de mixage lorsque vous le tournez dans le sens horaire, tandis que dans le sens antihoraire, il ajoute plus de signal clair. Un autre ajout est le réglage des basses, qui mélange un autre condensateur, ce qui permet d’obtenir plus de basses sur le second ampli-op. Veuillez noter que cela n’affecte que la partie saturée du circuit et sera donc plus perceptible à mesure que le contrôle de gain est réglé.

En observant la pédale, on remarque également un petit interrupteur à bascule, qui permet d’accéder à un réglage de tonalité plus pratique en position « Mod ». Cette position permet également d’obtenir plus de basses, ce qui rend le son de la Klon plus clair.

Et maintenant ? Ah oui… Un des éléments les plus importants : les diodes. DS Custom a utilisé des diodes soviétiques NOS, dont les performances sont très proches de celles de l’unité d’origine. Comme la Klon originale, la pédale T.E.O. dispose également d’un bypass buffered et d’une alimentation standard de 9 V.

Veuillez noter que cette pédale utilise une pompe de charge interne pour augmenter la tension de 9 V à 18 V. Ne dépassez donc pas 9 V sur la prise DC !

Vous remarquerez également le commutateur Stock/Mod, qui n’affecte que le circuit Swell de la pédale. Sur l’appareil d’origine, le Swell sonnait un peu faux sur les frettes graves. DS Custom a donc ajouté une petite modification, qui améliore le son sur les frettes graves, sans affecter quoi que ce soit d’autre.

Et du coup, la XPC est une des plus fabuleuses Fuzz du marché, reprenant avec fidélité le gain des référentielles Prescription Electronics.

Cette pédale est un filtre d’enveloppe créatif et avec sa couleur sonore farfelue elle pimentera le son de votre guitare en ajoutant une certaine dose de caractéristiques vocales. Pour les amateurs de grain, un chemin de signal overdrive est inclus et accessible en appuyant sur le bouton MOD, qui, en combinaison avec le filtre d’enveloppe, génère une distorsion prononcée, en particulier dans la gamme de fréquences basses.

Le balayage de l’enveloppe dynamique est contrôlé par le bouton Reflex et détermine l’emplacement de l’accent : le réglage bas répond plus lentement avec des basses prononcées et le réglage élevé résonne rapidement avec un son net. La force de l’accent est déterminée par la force du pincement/grattage.

Pousser le niveau crée un son de type E-bow, très tubulaire mais pas creux, traversant plutôt un mélange dense comme une lame de rasoir. La commande FREQUENCY sélectionne une fréquence spécifique et augmente la bande qui l’entoure. La bande elle-même peut être façonnée avec la commande Q et amplifiée avec le gain de maquillage LEVEL.

Le circuit analogique déforme le son plus que suffisamment pour que la guitare intervienne dans le mix. Un son de qualité studio confiné par un master GATE. Et le format révolutionnaire ZUTA permet de de monter qu’seul PCB avec tous les composants soudés solidement, sans fils ni connecteurs à l’intérieur. Révolutionnaire et surtout tellement dingue en timbre !!!

La TRIAX est une solution parfaite pour ces situations délicates est une combinaison d’un boost et d’un gate. Un total de 30dB de BOOST transparent et un GATE innovant unique défini par une réaction rapide et des transitions douces, fournissent un punch solide pour le son souhaité. De plus, un commutateur COLOR permet une mise en forme rapide et facile des médiums.

Le TRIAX résout à lui seul de nombreux problèmes techniques et constitue également une base solide pour jouer confortablement et en toute confiance.

Cette nouvelle version dispose de 2 blocs d’am­pli qui incarnent 2 canaux. Le canal  A dispose de boutons de poten­tio­mètres dorés alors que le canal B dispose de boutons de poten­tio­mètres noirs. Le canal A est baptisé Hot Rod et le canal B Clas­sic Mk-II. Le canal A offre les 3 modèles d’am­plis et de préam­plis suivant :

• AC Brit TB (Vox AC30 Top Boost)
• USA Rod
• MS 800 (Marshall JCM800).
Le canal B rassemble les préam­plis et amplis suivants :
• AC Brit
• USA (Fender ’59 Bass­man)
• MS (Marshall Plexi)

On peut utili­ser le Simpli­fier X sous 3 modes. Les 2 amplis (A et B) peuvent être utili­sés en paral­lèle, comme si on jouait sur 2 amplis diffé­rents en même temps ; on peut passer de l’am­pli A à l’am­pli B, en profi­tant des simu­la­tions d’en­ceintes et des effets placés à gauche et à droite dans le mix ; on peut aussi utili­ser le Simpli­fier X en mode Dual Mono qui permet d’ac­ti­ver/désac­ti­ver chaque ampli à l’aide d’un switch AB. Ce mode permet­tra de chan­ger les effets en fonc­tion de l’am­pli qu’on joue. Chaque ampli possède son réglage Reverb qui ajuste le mix de la réverbe. Un switch situé sur le côté permet de choi­sir entre 3 algo­rithmes de réverbe : Room, Ether et Plate.

Le Simpli­fier X dispose de 2 sorties directes sur XLR (L et R) avec switch de mise à la Terre. Deux sorties sur Jack avec simu­la­tion de HP sont égale­ment au programme, accom­pa­gnées d’un switch qui permet de désac­ti­ver cette simu­la­tion de HP. Une sortie THRU est aussi prévue, pour récu­pé­rer un signal Dry. Enfin, on trouve une sortie casque avec son propre réglage de niveau et 2 boucles d’ef­fets ainsi que 2 entrées. Un switch Return Link permet de relier les 2 fiches Return A et B si vous utili­sez des effets stéréo.

On reste en terrain connu, avec quasiment la même ergonomie que la Simplifier originale mais il y a désormais une vraie reverb, et à plaque s’il vous plaît. Et aussi la nouvelle simulation de l’étage de puissance qui nous donne des sensations toujours plus proches d’un amplificateur dont l’étage final est poussé à fond. Le réglage “Power Drive” permet de régler le comportement de l’étage de puissance et permet désormais de choisir son modèle de haut-parleur pour chaque côté des sorties stéréo, ce qui donne des enregistrements très vivants : black : les Jensen des Fender, blue: les Alnico Blue des Vox et green: les Celestion Greenback de Marshall. Enfin, pour chacun de ces modèles, on peut aussi sélectionner le nombre de HP, un HP, deux HP ou un stack.

En détail, le Simplifier propose un préampli 100% true analog qui simule les bases clean de trois des amplis les plus connus du marché, à savoir :

• AC BRIT: Pas de doutes, il s’agit là d’un VOX AC30, avec son grain ouvert, ample et brillant. La définition même du timbre clean British.
• AMERICAN: On est en terrain connu pour tous les amateurs de Fender, avec ce timbre typique des blackface deluxe. Doux et dynamique, avec un super équilibre. Là aussi ça claque
• MS BRIT: LA référence rock, voici l’étage clean d’un Marshall vintage plexi. Cet étage est capable de craquer et légèrement saturer. Une référence dans le Rock, c’est sûr

Chacun de ces préamplis possède une ampleur et un grain digne d’un ampli à lampes, et ce grâce au comportement typique du signal du Simplifier, qui reprend la conception et le signal d’un ampli classique à lampes, avec le tone stack usuel, et le placement dans le signal audio des trois bandes d’EQ. Mais ce n’est pas tout, la simulation d’étage d’ampli reproduit exactement l’interaction entre les tubes, les transfos, de sortie notamment, et la réponse générale typique d’un étage d’ampli à lampes. Les contrôles  Presence et Resonance et surtout la sélection possible entre les tubes 6L6, EL34 et KT88 permettent de sculpter avec précision le rendu audio final.

Le Cabinet Simulator est le résultat d’années de succès et d’expériences de la marque DSM Noisemaker, qui a développé les meilleurs et plus connus des simulateurs de HP en software du marché. D’une part vous pouvez contrôler deux cabinets indépendants, respectivement à gauche et à droite, avec pour chacun un potare permettant de régler la simulation de HP, allant de Blakc, Blue à Green, respectivement Jensen, Alnico Blue et Greenback. Dingue !!  Mais ce n’est pas tout, vu que le sélecteur 3 positions vous permet de simuler pour chaque sortie le choix entre les simulations de HP 1×12 Combo, 2×12 ou 4×12, qui sont toutes combinables à choix avec l’un des trois préamplis mentionnés précédemment. Les combinaisons sont très très nombreuses du coup.